Titre : | Ptôsis : l'avis du neurologue : quand, comment et jusqu'où chercher une myopathie ? |
Revue : | Neurologies, 20, 196 |
Auteurs : | Eymard B, Auteur |
Type de document : | Article |
Année de publication : | 04/2017 |
Pages : | p 116 |
Langues: | Français |
Mots-clés : | botulisme ; diagnostic ; diagnostic différentiel ; dystrophie musculaire oculopharyngée ; dystrophie myotonique de type 1 ; maladie neuromusculaire ; maladie ophtalmologique ; myasthénie auto-immune ; myopathie congénitale ; myopathie mitochondriale ; paupière ; ptosis ; syndrome myasthénique congénital ; syndrome myasthénique de Lambert-Eaton ; tableau clinique |
Résumé : | Le ptôsis se manifeste par une chute de la paupière supérieure qui va, selon son intensité, recouvrir plus ou moins la pupille. Souvent, il existe une élévation compensatrice du sourcil homolatéral. La démarche diagnostique passe schématiquement par trois étapes successives : 1) Affirmer qu'il s'agit bien d'un ptôsis. 2) Démontrer que le ptôsis n'est pas attribuable à une atteinte aponévrotique (ptôsis sénile), neurogène (paralysie du sympathique ou du IIIe nerf crânien) ou myasthénique, mais qu'il s'agit en définitive d'un ptôsis myopathique. 3) Identifier l'affection musculaire. |