Résumé :
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L’étude génétique de 76 familles mexicaines atteintes de dystrophie musculaire de Duchenne (67 familles) ou de Becker (9 familles) a mis en évidence un taux élevé (62,2%) de mutations spontanées. La recherche par PCR (dans ces familles) des femmes porteuses du gène de la maladie, a établi que seules 20,7% des mères des garçons atteints étaient transmettrices. Pour expliquer ces résultats, les auteurs pensent à une variabilité ethnique. Des études plus fines des mutations en causes sont nécessaires pour permettre un conseil génétique (évaluant le risque de récurrence de la maladie dans ces familles).
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