Titre : | Differentiation in vivo of cardiac committed human embryonic stem cells in post-myocardial Infarcted rats |
Revue : | Stem cells, 25, 9 |
Auteurs : | Tomescot A ; Leschik J ; Bellamy V ; Dubois G ; Messas E ; Bruneval P ; Desnos M ; Hagège AA ; Amit M ; Itskovitz J ; Menasché P |
Type de document : | Article |
Année de publication : | 2007 |
Pages : | p. 2200-2205 |
Langues: | Anglais |
Mots-clés : | BMP ; cardiolipine ; cellule souche embryonnaire ; culture cellulaire ; différenciation cellulaire ; fibre musculaire cardiaque ; histopathologie ; humain ; immunohistochimie ; in vivo ; infarctus du myocarde ; insuffisance cardiaque ; myocarde ; rat ; récepteur FGF ; recherche biomédicale ; thérapie cellulaire |
Résumé : |
Accès au résumé PubMed / to PubMed abstract 18/06/2007 - Marc Peschanski revient sur l'importance de la publication de l'équipe de Michel Pucéat en collaboration avec Philippe Menasché Les cellules souches constituent un espoir thérapeutique pour de nombreuses pathologies, et notamment pour les cas de déficience cardiaque. L’utilisation de cellules souches permettrait de régénérer les tissus endommagés du cœur. L’équipe AVENIR de l’Inserm dirigée par Michel Pucéat (Unité Inserm 861) est une des premières équipes françaises à avoir été autorisée à travailler sur les cellules souches embryonnaires humaines dans l’hexagone. En collaboration avec Philippe Menasché, chirurgien cardiaque à l'hôpital Européen Georges Pompidou (AP-HP, Université Paris 5) et directeur de l’Unité Inserm 633 « Thérapie cellulaire en pathologie cardiovasculaire », l’équipe de Michel Pucéat vient de montrer pour la première fois que des cellules souches embryonnaires humaines peuvent se différencier en cellules cardiaques au sein de cœurs défaillants de rats. Marc Peshanski , directeur de I-Stem, revient sur l'importance de la publication de l'équipe de Michel Pucéat en collaboration avec Philippe Menasché, chirurgien cardiaque à l'hôpital Européen Georges Pompidou. Quelles sont les prochaines étapes ? Selon Marc Peshanski, il faut maintenant démontrer que non seulement les cellules implantées s’installent anatomiquement et fonctionnellement dans le cœur greffé, mais aussi qu’elles peuvent redonner au rat, primate puis à l’homme une fonction cardiaque améliorée par rapport à son état antérieur à la greffe. Pour en arriver à ce stade chez l’homme, il faudra qu'I-Stem soit en mesure de produire des cellules souches pouvant être implantées chez l’homme. Quels défis à long terme ? Marc Peshanski estime que le problème majeur à résoudre, qui est valable pour toute greffe, est celui de la réponse immunitaire du receveur, c’est-à-dire la capacité de l’organisme du receveur à accepter les cellules greffées. Dans un premier temps, il s’agira d’utiliser les médicaments habituels pour lutter contre le rejet. Ensuite, l’idée est de créer une banque de cellules souches dans laquelle on pourra choisir le matériel génétique et trouver la meilleure compatibilité avec le receveur. |
Lien associé : | http://www.ncbi.nlm.nih.gov/sites/entrez?Db=pubmed&Cmd=ShowDetailView&TermToSearch=17540853&ordinalpos=1&itool=EntrezSystem2.PEntrez.Pubmed.Pubmed_ResultsPanel.Pubmed_RVDocSum |
Pubmed / DOI : | DOI : 10.1634/stemcells.2007-0133 |