Titre : | Chronic pain in persons with myotonic dystrophy and facioscapulohumeral dystrophy |
Revue : | Archives of physical medicine and rehabilitation, 89, 2 |
Auteurs : | Jensen MP ; Hoffman AJ ; Stoelb BL ; Abresch RT ; Carter GT ; McDonald CM |
Type de document : | Article |
Année de publication : | 02/2008 |
Pages : | p. 320-328 |
Langues: | Anglais |
Mots-clés : | âge ; aide technique ; degré de sévérité ; douleur chronique ; dystrophie musculaire facio-scapulo-humérale ; dystrophie myotonique ; étude rétrospective ; motricité ; prévalence |
Résumé : |
Accès au résumé PubMed / to PubMed abstract 19/03/2008 - Fréquence élevée des phénomènes douloureux dans la myopathie FSH et dans la maladie de Steinert : à propos d’une étude comparative nord-américaine La plupart des maladies neuromusculaires ne s’accompagnent pas, au moins en théorie, d’atteinte du système nerveux sensitif. Ceci contraste en pratique avec la fréquence, parfois très élevée, des phénomènes douloureux rapportés par les patients concernés, y compris dans les dystrophies musculaires. Pour appréhender l’importance du phénomène, une équipe mixte de rééducateurs de Seattle et de Los Angeles a décidé de réaliser une étude rétrospective à partir de questionnaires chez 395 personnes adultes identifiées à partir de registres de patients atteints de myopathie facio-scapulo-humérale (FSH) ou de maladie de Steinert. Les réponses de 235 patients ont pu être analysées concernant les phénomènes douloureux constatés, leur fréquence, leur topographie et leurs réponses au traitement. Dans l’article relatant leurs résultats et publié en février 2008, les auteurs mettent en évidence une fréquence globale élevée des phénomènes douloureux dans les 2 pathologies, et plus encore dans la myopathie FSH (82%) que dans la maladie de Steinert (64%). Il existait également des différences statistiquement significatives au niveau des sites douloureux (le dos et les membres inférieurs étant plus touchés dans la FSH que dans la maladie de Steinert). Si l’âge semble peu influer, la réduction des capacités motrices et le recours à des aides techniques sont corrélées avec une fréquence plus grande des douleurs. Quant aux traitements antalgiques mis en œuvre, ils semblent peu efficaces dans l’ensemble. |
Lien associé : | http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18226657?ordinalpos=3&itool=EntrezSystem2.PEntrez.Pubmed.Pubmed_ResultsPanel.Pubmed_RVDocSum |