Titre : | Truncating mutations in C-terminal titin may cause more severe tibial muscular dystrophy (TMD) |
Revue : | Neuromuscular disorders : NMD, 18, 12 |
Auteurs : | Hackman P ; Marchand S ; Sarparanta J ; Vihola A ; Pénisson-Besnier I ; Eymard B ; Pardal-Fernandez JM ; Hammouda EH ; Richard I ; Illa I ; Udd B ; Hammouda el H |
Type de document : | Article |
Année de publication : | 12/2008 |
Pages : | p. 922-928 |
Langues: | Anglais |
Mots-clés : | arbre généalogique ; codon stop ; corrélation génotype-phénotype ; degré de sévérité ; domaine C-terminal ; Espagne ; France ; gène TTN ; génétique moléculaire ; IRM ; muscle squelettique ; mutation génétique ; myopathie distale de type Udd ; recherche biomédicale ; séquençage ; titine |
Résumé : |
Accès au résumé PubMed / to PubMed abstract 05/01/2009 - Des titinopathies décrites hors de Finlande : à propos de 3 nouvelles mutations La titine est une protéine de très grande taille jouant un rôle majeur dans l’appareil contractile de la fibre musculaire. Elle s’étend du disque Z jusqu’à ligne M du sarcomère et a de multiples fonctions cellulaires (guidage, genèse des myofibrilles, signalisation). Elle interagit notamment avec la calpaïne 3. Son implication en pathologie neuromusculaire humaine est récente et se résume à trois entités cliniques : une forme autosomique dominante de myopathie distale (de type Udd), une forme autosomique récessive de myopathie des ceintures (répertoriée sous le terme de LGMD 2J) et une dystrophie musculaire autosomique récessive avec cardiomyopathie sévère. La myopathie distale de type Udd est extrêmement répandue en Finlande et procède d’un effet fondateur. A l’exception de cette mutation ‘finlandaise’, la détection d’une titinopathie au niveau moléculaire est rendue très difficile et fastidieuse du fait de la grande taille du gène. Dans un article publié en octobre 2008, l’équipe de Udd rapporte trois nouvelles mutations dominantes du gène de la titine (respectivement dans les exons Mex5 et Mex6) dans deux familles françaises non apparentées et une famille espagnole. Tous les patients atteints présentaient les signes d’une myopathie distale mais avec un âge de début et une sévérité variables. Une des familles françaises portant la mutation dans l’exon Mex5 avait un phénotype beaucoup plus marqué que dans la description finlandaise originelle. |
Lien associé : | http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18948003?ordinalpos=1&itool=EntrezSystem2.PEntrez.Pubmed.Pubmed_ResultsPanel.Pubmed_DefaultReportPanel.Pubmed_RVDocSum |
Pubmed / DOI : | DOI : 10.1016/j.nmd.2008.07.010 |