Titre : | Persistent expression of FLAG-tagged micro dystrophin in nonhuman primates following Intramuscular and vascular delivery |
Revue : | Molecular therapy, 18, 1 |
Auteurs : | Rodino-Klapac LR ; Montgomery CL ; Bremer WG ; Shontz KM ; Malik V ; Davis N ; Sprinkle S ; Campbell KJ ; Sahenk Z ; Clark KR ; Walker CM ; Mendell JR ; Chicoine LG |
Type de document : | Article |
Année de publication : | 2010 |
Pages : | p. 109-117 |
Langues: | Anglais |
Mots-clés : | biologie moléculaire ; biopsie musculaire ; domaine C-terminal ; dystrophie musculaire de Duchenne ; ELISA ; essai clinique ; expression génique ; histochimie ; immunofluorescence ; mini-dystrophine ; modèle animal ; muscle squelettique ; Primates ; transfert de gène ; vecteur AAV8 |
Résumé : |
Accès au résumé PubMed / to PubMed abstract 17/12/2009 - Traitement de la myopathie de Duchenne : un nouvel outil pour l’étude chez le primate La myopathie de Duchenne est la maladie génétique musculaire la plus fréquente chez l’enfant. Des thérapies basées sur le remplacement du gène incriminé sont à l’étude. Le singe, par ses similarités existant avec l’homme au niveau de son système circulatoire, musculaire mais aussi immunitaire, constitue un bon modèle d’étude. La principale difficulté pour étudier la thérapie génique chez le singe, consiste à disposer d’un moyen pour suivre l’expression du gène remplacé, notamment lors d’administrations par voie systémique. Dans un article publié en novembre 2009, des chercheurs américains ont modifié un vecteur de type associé aux adénovirus (AAV) utilisé habituellement en thérapie génique, de façon à faire produire une dystrophine marquée par une « étiquette » protéique. Cette étiquette a permis de suivre facilement l’expression et la localisation de la dystrophine produite après injection intramusculaire ou intraveineuse. Dans les deux cas, l’expression de la dystrophine marquée a été satisfaisante et stable pendant plusieurs mois après une seule injection. Le vecteur et la dystrophine marquée n’induisent pas de réponse immunitaire cellulaire. En revanche, le vecteur provoque l’apparition d’anticorps chez le singe qui peuvent diminuer de moitié l’expression de la dystrophine. Les auteurs concluent sur le fait que ce système de marquage de protéine pourrait être utilisé avec d’autres gènes impliqués dans d’autres types de dystrophies musculaires.(L'actu de la myologie, site Institut de Myologie) |
Lien associé : | http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19904237?itool=EntrezSystem2.PEntrez.Pubmed.Pubmed_ResultsPanel.Pubmed_RVDocSum&ordinalpos=1 |
Pubmed / DOI : | DOI : 10.1038/mt.2009.254 |