Titre : | Large-scale population analysis challenges the current criteria for the molecular diagnosis of fascioscapulohumeral muscular dystrophy |
Revue : | American journal of human genetics (The), 90, 4 |
Auteurs : | Scionti I ; Greco F ; Ricci G ; Govi M ; Arashiro P ; Vercelli L ; Berardinelli A ; Angelini C ; Antonini G ; Cao M ; Di Muzio A ; Moggio M ; Morandi L ; Ricci E ; Rodolico C ; Ruggiero L ; Santoro L ; Siciliano G ; Tomelleri G ; Trevisan CP ; Galluzzi G ; Wright W ; Zatz M ; Tupler R |
Type de document : | Article |
Année de publication : | 2012 |
Pages : | p. 628-635 |
Langues: | Anglais |
Mots-clés : | diagnostic ; données chiffrées ; dystrophie musculaire facio-scapulo-humérale ; étude de cohorte ; génétique des populations ; répétition de triplet ; schéma |
Résumé : |
Accès au résumé PubMed / to PubMed abstract 02/07/2012 - Myopathie facio-scapulo-humérale : une pathogénèse plus complexe que prévue La dystrophie musculaire facio-scapulo-humérale (FSH) est liée à une contraction du nombre de répétitions d’une séquence D4Z4, située sur le chromosome 4 et à la possibilité d’induire le rétrogène DUX4.. Toutefois, il existe des personnes présentant un nombre réduit de répétitions D4Z4 qui n’ont pas de signe clinique de la maladie, ou, à l’inverse, des personnes atteintes de FSH qui n’ont pas de diminution du nombre de leurs répétitions D4Z4. Cela suppose qu’il existe d’autres facteurs qui interviennent. Le transcrit DUX4 le plus distal des répétitions D4Z4 possède un site de polyadénylation (PAS) sur le chromosome 4qA et seuls les haplotypes 4A159, 4A161 et 4A168, seraient associés à la FSH, suggérant une signature moléculaire de la FSH appelée 4A(159, 161, 168)PAS. Dans un article publié en avril 2012, une collaboration internationale a réalisé une étude clinique et moléculaire chez 801 volontaires sains d’Italie ou du Brésil et 253 patients atteints de FSH issus du registre FSH italien. Chez les volontaires sains, 3% avaient une diminution du nombre de répétitions D4Z4 sur le chromosome 4q et un tiers de ces allèles était associé à l’haplotype 4A161PAS. Chez les patients atteints de FSH, seulement la moitié présentait des allèles avec un nombre réduit de répétitions associé à l’haplotype 4A161PAS, le reste présentait un plus grand nombre de répétitions ou un autre haplotype. Ainsi, si la signature 4A(159, 161, 168)PAS est fréquemment associée au phénotype FSH, elle n’est ni nécessaire, ni suffisante pour que la maladie se développe. |
Lien associé : | http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi?cmd=Retrieve&db=PubMed&dopt=Citation&list_uids=22482803 |
Pubmed / DOI : | DOI : 10.1016/j.ajhg.2012.02.019 |
Voir aussi : |