Titre : | Responsiveness of the Motor Function Measure in neuromuscular diseases |
Revue : | Archives of physical medicine and rehabilitation, 93, 12 |
Auteurs : | Vuillerot C ; Payan C ; Girardot F ; Fermanian J ; Iwaz J ; Bérard C ; Ecochard R |
Type de document : | Article |
Année de publication : | 2012 |
Pages : | p. 2251-2256 |
Langues: | Anglais |
Mots-clés : | dystrophie musculaire de Duchenne ; étude d'évaluation ; étude de cohorte ; étude observationnelle ; étude prospective ; évaluation fonctionnelle ; maladie neuromusculaire ; MFM (Mesure de la fonction motrice) ; motricité |
Résumé : |
Accès au résumé PubMed / to PubMed abstract La mesure de fonction motrice (MFM) : une échelle sensible au changement et adaptée aux maladies neuromusculaires La mesure de fonction motrice (MFM) est un outil développé originellement en France et destiné à servir d’indicateur de sévérité et de suivi pour un grand nombre de pathologies neuromusculaires. A la différence des mesures simples de force comme le testing manuel ou plus sophistiquées comme le QMT (quantitative muscle testing), l’accent est mis, avec la MFM, sur l’aspect fonctionnel et donc sur la réalisation de certains gestes. L’utilisation de la MFM dépasse désormais le cadre hexagonal. Elle est parfois utilisée comme critère de jugement principal dans les essais cliniques et explore trois dimensions à l’aide de trente-deux items (avec un score maximal de 96). Dans un article publié en juin 2012, les concepteurs de la MFM rapportent les résultats d’une étude ancillaire portant sur 152 patients destinée à tester la sensibilité au changement de l’échelle MFM, cette propriété étant un des critères importants de validité d’une échelle en général. Les scores globaux ont été obtenus à un an d’intervalle, à la suite de quoi les intéressés, leurs parents et les cliniciens, ont fait parallèlement état de leur sentiment sur l’évolutivité de la maladie sur ce laps de temps. Dans l’ensemble, la bonne sensibilité au changement de l’échelle MFM est confirmée. Au total 2,4 points sur 96 sont perdus sur un an (le double dans le groupe Duchenne). Les auteurs soulignent toutefois les biais méthodologiques d’une telle approche et suggèrent l’extension de l’étude à des groupes de patients plus homogènes. |
Lien associé : | http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi?cmd=Retrieve&db=PubMed&dopt=Citation&list_uids=22705238 |
Pubmed / DOI : |
DOI : 10.1016/j.apmr.2012.05.025 ![]() |
Voir aussi : |