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Titre : Dermatomyosite, polymyosite : une nouvelle atteinte oculaire décrite Type de document : Brève Auteurs : Marion S, Auteur Année de publication : 19/03/2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : cataracte ; corticoïde ; corticothérapie ; dermatomyosite ; dysphagie ; maladie autoimmune ; maladie neuromusculaire ; myopathie inflammatoire ; pneumopathie interstitielle ; polymyosite ; rétinopathie ; syndrome de Gougerot-Sjögren Lien associé : Lien vers la Brève du site Institut de Myologie Texte intégral : Une équipe européenne rapporte pour la première fois une certaine tendance à la sécheresse oculaire et à l’amincissement de la cornée dans deux myopathies inflammatoires.
Différentes atteintes oculaires ont déjà été décrites dans la dermatomyosite et la polymyosite, deux maladies auto-immunes. La littérature compte ainsi des publications de cas ou de petites séries d’opthalmoplégie, de cataracte iatrogène (corticothérapie), ou encore de rétinopathie par atteinte vasculaire et d’éruption héliotrope des paupières dans la dermatomyosite. Dans d’autres maladies systémiques auto-immunes, des atteintes de la cornée ont par ailleurs été décrites.
Une équipe hongro-norvégienne a cherché à savoir s’il en était de même dans les myopathies inflammatoires. Son étude observationnelle monocentrique (Université de Debrecen, Hongrie) a porté sur 75 patients atteints de dermatomyosite (n = 32) ou de polymyosite (n = 43). Des signes cliniques non moteurs (syndrome de Raynaud, éruption cutanée, dysphagie, pneumopathie interstitielle) étaient présents chez 50% des patients atteints de polymyosite et 44% de ceux atteints de dermatomyosite. Tous recevaient une dose d’entretien de corticoïdes minimale (4mg/j), mais pas de médicament immunosuppresseur. Ils ont été comparés à un groupe contrôle (n = 93) apparié en âge, en genre et en réfraction visuelle.
Des différences significatives
Aucun participant ne présentait de critères diagnostiques d’un syndrome de Sjögren. Tous ont bénéficié d’un bilan ophtalmologique avec mesure de l’acuité visuelle et de la tension intraoculaire, examen à la lampe à fente, analyse structurelle non-invasive de la cornée en trois dimensions (Pentacam), recherche d’une sécheresse oculaire par évaluation de la sécrétion lacrymale (test de Schirmer) et de la qualité des larmes (temps de rupture du film lacrymal). Les résultats montrent une tendance à la sécheresse oculaire ainsi qu’une réduction statistiquement significative de l’épaisseur de la cornée et de son volume chez les patients atteints de polymyosite et, dans une moindre mesure, chez ceux atteints de dermatomyosite, en comparaison du groupe contrôle. Des anomalies à rechercher puisqu’elles peuvent notamment constituer une contre-indication relative à la chirurgie réfractive. Elles sont également à prendre en compte pour planifier la chirurgie de la cataracte, en cas de don de cornée en vue d’une greffe, ainsi que pour diagnostiquer et prendre en charge le glaucome car les appareils de mesure de la tension oculaire sont calibrés pour une épaisseur « standard » de cornée.Avis des lecteurs Aucun avis, ajoutez le vôtre !
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Titre : Polymyosite, dermatomyosite : une cornée plus fine et moins de larmes Type de document : Brève Auteurs : Marion S, Auteur Année de publication : 19/03/2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : cataracte ; dermatomyosite ; maladie autoimmune ; maladie neuromusculaire ; myopathie inflammatoire ; polymyosite Lien associé : Lien vers la Brève du site AFM-Téléthon Texte intégral : Une étude récente démontre une tendance à la sécheresse des yeux et un amincissement de la cornée dans deux formes de myosites.
La dermatomyosite et la polymyosite sont des maladies dites « auto-immunes » : le système immunitaire se dérègle et attaque des éléments de l'organisme, comme les muscles. Les médecins savaient déjà qu’elles pouvaient entrainer une atteinte de différents éléments de l’œil : les muscles qui permettent de bouger les yeux, le cristallin (cataracte) à cause du traitement par corticoïdes instauré dans ces deux maladies, la rétine (anomalies des vaisseaux) et la peau des paupières (éruption) dans la dermatomyosite.
Une nouvelle étude montre que la cornée peut également être concernée. Cette membrane transparente et légèrement saillante est située à l’avant de l’œil. Elle est elle-même lubrifiée et nourrie par les larmes (le film lacrymal) qui jouent un rôle protecteur essentiel. L’étude, menée en Hongrie, a porté sur 75 adultes atteints de dermatomyosite ou de polymyosite, et sur un groupe « contrôle » de 93 personnes en bonne santé. Tous les participants ont bénéficié d’un examen ophtalmologique complet, avec notamment une analyse de la structure à l’échelle microscopique de la cornée (épaisseur, densité des tissus…), mais aussi des tests pour évaluer la production de larmes et la qualité du film lacrymal.
Des particularités à prendre en considération
Chez les personnes atteintes de polymyosite surtout, et dans une moindre mesure chez celles atteintes de dermatomyosite, la cornée était plus fine que chez les participants du groupe contrôle. La production de larmes était également plus faible en cas de myosites, ce qui pouvait conduire à une sécheresse oculaire, plus prononcée là encore en cas de polymyosite que de dermatomyosite. Les symptômes d’un « œil sec » (picotements, démangeaisons, sensations de sable dans les yeux, difficultés à porter des lentilles de contact…) n’ont pas été recherchés dans le cadre de cette étude. Les auteurs de l’article insistent sur le fait qu’il faudrait tenir compte des anomalies de la cornée et des larmes lorsqu’une opération pour traiter une cataracte ou pour corriger un défaut visuel (chirurgie réfractive) est envisagée.Avis des lecteurs Aucun avis, ajoutez le vôtre !
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Titre : DMD : étude de la cataracte sous corticoïdes Type de document : Brève Auteurs : Urtizberea JA, Auteur Année de publication : 15/10/2018 Langues : Français (fre) Mots-clés : cataracte ; chromosome X ; déflazacort ; dystrophie musculaire ; dystrophie musculaire de Duchenne ; dystrophine ; gène DMD ; maladie neuromusculaire ; médicament aux corticoïdes ; prednisone Lien associé : Lien vers la Brève du site AFM-Téléthon
Lien vers la Brève du site Institut de MyologieTexte intégral : Brève publiée sur le site Internet de l'AFM
Une étude américaine met en évidence un risque plus élevé de cataracte sous déflazacort que sous prednisone dans la DMD
Dans la dystrophie musculaire de Duchenne (DMD), la prise orale de corticoïde au long cours et débutée dans l’enfance (vers 4-5 ans, rarement plus tôt) s’est imposée comme le traitement de référence, le choix pouvant se faire, selon les pays, entre la prednisolone et le déflazacort.
Dans un article publié en juin 2018, des cliniciens américains ont étudié les complications oculaires de 596 garçons atteints de DMD dont la très grande majorité (514/596) était sous déflazacort ou prédnisoline. Il apparait clairement que le risque de survenue d’une cataracte est significativement élevé (22,4 %) sous corticoïdes. Ce risque est deux fois plus élevé sous déflazacort que sous prednisone.
La cataracte survient après 4 à 6 années de traitement en moyenne mais ne nécessite un traitement chirurgical que dans quelques très rares cas. Cette étude confirme la nécessité d’un suivi oculaire de ces patients.
Dans un commentaire de cet article, d'autres chercheurs suggèrent de s'intéresser aussi au rôle de la localisation des anomalies au sein du gène DMD sur la propension à développer une cataracte sous corticothérapie, et plus particulièrement chez les enfants sous déflazacort ayant eu besoin d’une chirurgie de la cataracte.
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Brève publiée sur le site Internet de l'Institut de Myologie
DMD : deux fois plus de risque de développer une cataracte sous déflazacort que sous prednisone
La dystrophie musculaire de Duchenne (DMD) est la plus fréquente des maladies neuromusculaires de l’enfant. Transmise selon un mode récessif lié au chromosome X, elle est due à l’absence de dystrophine, une protéine essentielle au bon fonctionnement du muscle. Responsable d’un déficit musculaire progressif à prédominance proximale, elle entraine une perte de la marche au début de l’adolescence puis des complications respiratoires et cardiaques aboutissant à un décès prématuré. La corticothérapie orale au long cours et débutée dans l’enfance (vers 4-5 ans, rarement plus tôt) s’est imposée comme le traitement de référence, le choix pouvant se faire, selon les pays, entre la prednisolone et le déflazacort.
Dans un article publié en juin 2018, des cliniciens américains ont étudié les complications oculaires de ces options thérapeutiques chez 596 garçons atteints de DMD dont la très grande majorité (514/596) était sous corticothérapie. Il est apparu clairement que, malgré les différents protocoles thérapeutiques employés, le risque de survenue d’une cataracte est significativement élevé (22,4 %) sous corticoïdes, le phénomène étant plus encore flagrant dans le groupe ‘déflazacort’ que dans le groupe ‘prednisone’ (risque 2,4 fois plus important). Cette cataracte survient après 4 à 6 années d’exposition en moyenne mais ne nécessite un traitement chirurgical que dans quelques très rares cas. Le risque de glaucome apparaît en revanche infinitésimal. Cette série, impressionnante par sa taille, confirme la nécessité d’un suivi oculaire de ces patients.
Dans une réponse aux auteurs, d'autres chercheurs suggèrent de s'intéresser aussi au rôle de la localisation des mutations au sein du gène DMD sur la propension à développer une cataracte sous corticothérapie, et plus particulièrement chez les enfants sous déflazacort ayant eu besoin d’une chirurgie de la cataracte. Voir aussi
Cataract development associated with long-term glucocorticoid therapy in Duchenne muscular dystrophy patients
Rice ML, Wong B, Horn PS, et al.
Journal of AAPOS : the official publication of the American Association for Pediatric Ophthalmology and Strabismus, 2018
Cataract development associated with long-term glucocorticoid therapy in Duchenne muscular dystrophy patients.
Brignol TN, Fort PE, Ventura DF, et al.
Journal of AAPOS : the official publication of the American Association for Pediatric Ophthalmology and Strabismus, 2018, Epub
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Cataract development associated with long-term glucocorticoid therapy in Duchenne muscular dystrophy patients.
Brignol TN, Fort PE, Ventura DF, et al.
Journal of AAPOS : the official publication of the American Association for Pediatric Ophthalmology and Strabismus, 2018, Epub
Revue : Journal of AAPOS : the official publication of the American Association for Pediatric Ophthalmology and Strabismus, Epub Titre : Cataract development associated with long-term glucocorticoid therapy in Duchenne muscular dystrophy patients. Type de document : Article Auteurs : Brignol TN, Auteur ; Fort PE ; Ventura DF ; Tadayoni R ; Rendon A Année de publication : 26/09/2018 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : cataracte ; corticoïde ; corticothérapie ; déflazacort ; dystrophie musculaire de Duchenne ; dystrophinopathie ; effet indésirable ; facteur de risque ; glucocorticoïde ; ophtalmologie ; prednisone ; pression intraoculaire ; prévalence ; prise en charge ophtalmologique Résumé : To the Editor: We read with interest the recent article by Rice and colleagues1 reporting on 596 patients with Duchenne muscular dystrophy (DMD) treated with steroid and evaluated for cataract development. The authors reported that the prevalence of cataracts was 25.1% in patients receiving deflazacort compared with 12.6% of those on prednisone. Only 7 patients (1.4%) required cataract surgery at a mean age of 16.9 years, and all of them were on deflazacort. Although, as pointed out by the authors, this suggests a link between steroid administration and cataract development, a potential influence of the position of the DMD gene mutation cannot be excluded...
Pubmed / DOI : Pubmed : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/?term=30266609 En ligne : http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30266609 Voir aussi
Cataract development associated with long-term glucocorticoid therapy in Duchenne muscular dystrophy patients
Rice ML, Wong B, Horn PS, et al.
Journal of AAPOS : the official publication of the American Association for Pediatric Ophthalmology and Strabismus, 2018
DMD : étude de la cataracte sous corticoïdes
Urtizberea JA
2018
Cataract development associated with long-term glucocorticoid therapy in Duchenne muscular dystrophy patients
Brignol TN, Fort PE, Ventura DF, et al.
Journal of AAPOS : the official publication of the American Association for Pediatric Ophthalmology and Strabismus, 2018, 22, 6, p 483
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Cataract development associated with long-term glucocorticoid therapy in Duchenne muscular dystrophy patients
Rice ML, Wong B, Horn PS, et al.
Journal of AAPOS : the official publication of the American Association for Pediatric Ophthalmology and Strabismus, 2018
Revue : Journal of AAPOS : the official publication of the American Association for Pediatric Ophthalmology and Strabismus Titre : Cataract development associated with long-term glucocorticoid therapy in Duchenne muscular dystrophy patients Type de document : Article Auteurs : Rice ML, Auteur ; Wong B ; Horn PS ; Yang MB Année de publication : 04/05/2018 Note générale : Presented in part at the Annual Meeting of the American Academy of Optometry, Anaheim - California, November 12-16, 2016, and at the International Annual Congress of the World Muscle Society, Saint Malo - France, October 5, 2017
Langues : Anglais (eng) Mots-clés : cataracte ; corticoïde ; corticothérapie ; déflazacort ; dystrophie musculaire de Duchenne ; effet indésirable ; étude rétrospective ; facteur de risque ; glucocorticoïde ; maladie ophtalmologique ; ophtalmologie ; prednisone ; pression intraoculaire ; prévalence ; prise en charge ophtalmologique Résumé : Comment in:
Cataract development associated with long-term glucocorticoid therapy in Duchenne muscular dystrophy patients. [J AAPOS. 2018]
Reply. [J AAPOS. 2018]
Pubmed / DOI : DOI : 10.1016/j.jaapos.2018.01.017 / Pubmed : 29733899
N° Profil MNM : 2018051 En ligne : http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29733899 Voir aussi
Cataract development associated with long-term glucocorticoid therapy in Duchenne muscular dystrophy patients.
Brignol TN, Fort PE, Ventura DF, et al.
Journal of AAPOS : the official publication of the American Association for Pediatric Ophthalmology and Strabismus, 2018, Epub
DMD : étude de la cataracte sous corticoïdes
Urtizberea JA
2018
Cataract development associated with long-term glucocorticoid therapy in Duchenne muscular dystrophy patients
Brignol TN, Fort PE, Ventura DF, et al.
Journal of AAPOS : the official publication of the American Association for Pediatric Ophthalmology and Strabismus, 2018, 22, 6, p 483
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Early onset posterior subscapular cataract in a series of myotonic dystrophy type 2 patients
Papadopoulos C, Kekou K, Xirou S, et al.
Eye (London, England), 2017
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Mutations in INPP5K Cause a Form of Congenital Muscular Dystrophy Overlapping Marinesco-Sjögren Syndrome and Dystroglycanopathy
Osborn DP, Pond HL, Mazaheri N, et al.
American journal of human genetics, 2017, 100, 3, p 537
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Mutations in INPP5K, Encoding a Phosphoinositide 5-Phosphatase, Cause Congenital Muscular Dystrophy with Cataracts and Mild Cognitive Impairment
Wiessner M, Roos A, Munn CJ, et al.
American journal of human genetics, 2017, 100, 3, p 523
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Genetic testing of individuals with pre-senile cataract identifies patients with myotonic dystrophy type 2
Rakocevic-Stojanovic V, Peric S, Pesovic J, et al.
European journal of neurology, 2017, 24, 11
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Assessing the influence of age and gender on the phenotype of myotonic dystrophy type 2
Montagnese F, Mondello S, Wenninger S, et al.
Journal of neurology, 2017, 264, 12, p 2472
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Investigation of the molecular mechanisms underlying myotonic dystrophy types 1 and 2 cataracts using microRNA‑target gene networks
Shao D, Zhu X, Sun W, et al.
Molecular medicine reports, 2017, 16, 4, p 3737
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Author's Reply: Myotonic dystrophy: The occurrence of early-onset cataract
Papadopoulos C, Panagopoulos G, Kekou K, et al.
Neurology India, 2017, 65, 4, p 923
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DMD et corticoïdes au long cours : vers une révision des recommandations aux Etats-Unis
Urtizberea JA
2016
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Zoom sur...la maladie de Steinert
Urtizberea JA, Myoinfo (AFM-Téléthon)
Zoom sur ..., Savoir & Comprendre, 2016, 107 p.
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Retinal changes in myotonic dystrophy (DM1) : a case report and a review of the literature [poster]
Brignol TN, Leveziel N, Bassez G
2016, 1 p.
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Myotonic dystrophy type 1: frequency of ophthalmologic findings : Distrofia miotônica tipo 1: frequência dos achados oftalmológicos
Ikeda KS, Iwabe-Marchese C, Franca MC Jr, et al.
Arquivos de neuro-psiquiatria, 2016, 74, 3, p 183
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Ocular Findings of Myotonic Dystrophy Type 1 in the Korean Population
Choi SH, Yang HK, Hwang JM, et al.
Graefe's archive for clinical and experimental ophthalmology = Albrecht von Graefes Archiv für klinische und experimentelle Ophthalmologie, 2016, 254, 6, p 1189
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An irish case of limb-girdle muscular dystrophy 2I with structural eye involvement
Yap SM, Farrell M, Cryan J, et al.
Muscle & Nerve, 2016, 54, 3, p 509
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Practice guideline update summary: Corticosteroid treatment of Duchenne muscular dystrophy: Report of the Guideline Development Subcommittee of the American Academy of Neurology
Gloss D, Moxley RT 3rd, Ashwal S, et al.
Neurology, 2016, 86, 5, p 465
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Efficacy and safety of deflazacort vs prednisone and placebo for Duchenne muscular dystrophy
Griggs RC, Miller JP, Greenberg CR, et al.
Neurology, 2016, 87, 20, p 2123
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Muscleblind-like 3 deficit results in a spectrum of age-associated pathologies observed in myotonic dystrophy
Choi J, Dixon DM, Dansithong W, et al.
Scientific Reports, 2016, 6
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Revue bibliographique sur l’intérêt de l’examen de la rétine dans deux maladies neuromusculaires génétiques (FSHD et DM1). Applications cliniques potentielles : Literature review of the importance of retinal examination in two genetic neuromuscular diseases (DM1and FSHD). Potential clinical applications
Brignol TN
Journal francais d'ophtalmologie, 2015, 38, 10, p e259
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Myotonic Dystrophy type 2 : An update on clinical aspects, genetic and pathomolecular mechanism
Meola C, Cardani R
Journal of Neuromuscular Diseases, 2015, 2, 2, Suppl 2, p. S59-S71
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