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échelle de fonction motriceSynonyme(s)mesure de motricité ;motoricity measurement motor function scales |



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Outcome measures in a cohort of ambulatory adults with spinal muscular atrophy
Elsheikh B, King W, Peng J, et al.
Muscle & Nerve, 2019
Revue : Muscle & Nerve Titre : Outcome measures in a cohort of ambulatory adults with spinal muscular atrophy Type de document : Article Auteurs : Elsheikh B, Auteur ; King W ; Peng J ; Swoboda KJ ; Reyna SP ; LaSalle B ; Prior TW ; Arnold WD ; Kissel JT ; Kolb SJ Editeur : United States Année de publication : 11/2019 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : adulte ; amyotrophie spinale ; amyotrophie spinale proximale liée à SMN1 ; échelle de fonction motrice ; étude de cohorte ; maladie du motoneurone ; maladie neuromusculaire Pubmed / DOI : Pubmed : 31725909 / DOI : 10.1002/mus.26756
N° Profil MNM : 2019112 En ligne : http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/31725909 Avis des lecteurs Aucun avis, ajoutez le vôtre !
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Dystrophie musculaire de Duchenne : quels sont les meilleurs critères de jugement dans le temps ?
Urtizberea JA
2019
Titre : Dystrophie musculaire de Duchenne : quels sont les meilleurs critères de jugement dans le temps ? Type de document : Brève Auteurs : Urtizberea JA, Auteur Année de publication : 25/10/2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : dystrophie musculaire de Duchenne ; essai clinique ; IRM ; maladie neuromusculaire ; MFM (Mesure de la fonction motrice) Lien associé : Lien vers la Brève du site Institut de Myologie Texte intégral : La dystrophie musculaire de Duchenne (ou DMD) est la myopathie héréditaire la plus fréquente chez le garçon. Transmise selon un mode récessif lié au chromosome X et due à un déficit en dystrophine, la DMD se traduit par un déficit musculaire progressif et des complications cardio-respiratoires à l’origine d’un décès prématuré. L’évolutivité de cette maladie est difficile à mesurer de façon précise du fait de variations individuelles et/ou d’un manque d’outils d’évaluation faisant consensus.
Dans un article publié en août 2019, le centre de référence neuromusculaire de Bâle (Suisse) s’est intéressé à ces outils en étudiant l’évolution et la variation de leurs résultats dans le temps chez 29 personnes atteintes de DMD, âgées de 6,5 à 10 ans, encore marchantes et ayant participé à deux études cliniques.
Qu’il s’agisse de la MFM (mesure de fonction motrice), de tests chronométrés ou d’autres instruments de mesure, tous ont fait l’objet d’une passation à l’inclusion et tous les trois mois pendant un an. Une étude quantitative en IRM a été également conduite en parallèle chez un nombre plus réduit de participants. La comparaison de ces différents paramètres ou échelles dans un cadre longitudinal a permis de souligner l’intérêt primordial de la mesure quantitative de la graisse musculaire en IRM et de la dimension D1 de l’échelle MFM. La combinaison entre ces éléments cliniques et radiologiques devrait constituer, pour les auteurs, la base des critères de jugement dans les essais thérapeutiques à venir. Voir aussiAvis des lecteurs Aucun avis, ajoutez le vôtre !
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Titre : SMA : associer le Spinraza au Zolgensma? Des premiers résultats Type de document : Brève Auteurs : Cukierman L, Auteur Année de publication : 11/10/2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : amyotrophie spinale ; échelle CHOP INTEND ; gène SMN1 ; maladie neuromusculaire ; nusinersen ; onasemnogene abeparvovec-xioi Lien associé : Lien vers la Brève du site AFM-Téléthon
Lien vers la Brève du site Institut de MyologieTexte intégral : Brève publiée sur le site Internet de l'AFM
Une équipe américaine rapporte le cas de deux enfants atteints de SMA parmi les premiers à recevoir un traitement par Spinraza puis par Zolgensma.
L’amyotrophie spinale proximale liée à SMN1 (SMA) dispose désormais de deux traitements : le nusinersen (Spinraza®), autorisé aux États-Unis en décembre 2016 et en Europe depuis juin 2017, et l’onasemnogene abeparvovec-xioi (Zolgensma®), autorisé aux États-Unis depuis mai 2019.
Une publication américaine datée de septembre 2019 décrit pour la première fois le cas de deux enfants atteints de SMA de type 1 ayant reçu ces deux traitements innovants aux mécanismes d’action différents.
Les deux enfants ont d’abord été traités par nusinersen à partir de l’âge de 5 mois (3 ou 4 doses intrathécales). Les effets du nusinersen ne les empêchant pas de devenir dépendant d’une ventilation invasive permanente, ils ont aussi été traités par une injection intraveineuse d’onasemnogene abeparvovec-xioi à l’âge de 9 mois.
Trois à quatre mois après l’injection d’onasemnogene abeparvovec-xioi, l’’association de ces deux traitements a été bien tolérée. Elle a permis d’améliorer leur fonction motrice ainsi que de diminuer leur temps de ventilation. Les deux enfants vont continuer à recevoir des doses de nusinersen.
De nouvelles études, sur un plus grand nombre et à plus long terme, devront être réalisées pour mieux évaluer les effets de ce double traitement.
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Brève publiée sur le site Internet de l'Institut de Myologie
Deux enfants atteints d’amyotrophie spinale proximale liée à SMN1 traités pour la première fois par Spinraza et Zolgensma.
Deux traitements ont, à ce jour, reçu une autorisation de mise sur le marché dans l’amyotrophie spinale proximale liée à SMN1 (SMA) : le nusinersen (Spinraza®) – un oligonucléotide antisens autorisé aux États-Unis en décembre 2016 et en Europe depuis juin 2017 – et l’onasemnogene abeparvovec-xioi (Zolgensma®) – un produit de thérapie génique autorisé aux États-Unis depuis mai 2019.
Deux enfants atteints de SMA de type 1 ont reçu, pour la première fois, ces deux traitements innovants, qui agissent avec des mécanismes d’action différents. Traités dans un premier temps par nusinersen, ils ont aussi été traités par l’onasemnogene abeparvovec-xioi dans un deuxième temps, en raison d’un risque élevé d’une dépendance à une ventilation invasive permanente.
• Le premier patient, hypotonique à l’âge de 2 mois puis présentant un retard moteur à partir de 4 mois, a reçu du nusinersen à partir de l’âge de 5,5 mois (4 doses au total) puis une injection d’onasemnogene abeparvovec-xioi à l’âge de 9 mois.
• Le second patient, ne contrôlait pas sa tête à l’âge de 2 mois et présentait des difficultés à prendre du poids, un retard de croissance et une hypotonie. Il a été traité par nusinersen à partir de l’âge de 5 mois (3 doses au total) puis par une dose d’onasemnogene abeparvovec-xioi à l’âge de 9 mois.
Trois à quatre mois après l’injection d’onasemnogene abeparvovec-xioi, les deux traitements ont été bien tolérés et les deux enfants vont continuer à recevoir des doses de nusinersen.
Dans les deux cas, l’association de deux traitements a permis d’améliorer leur fonction motrice (au CHOP INTEND), leurs compétences fonctionnelles (rapportées par les parents) et leur fonction respiratoire (avec une diminution du temps de ventilation assistée).
De nouvelles études, sur un plus grand nombre et à plus long terme, permettront de mieux évaluer les effets de ces deux traitements qui pourraient être complémentaires. Voir aussiAvis des lecteurs Aucun avis, ajoutez le vôtre !
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Titre : Myopathie de Duchenne : le vamorolone, un anti-inflammatoire mieux toléré Type de document : Brève Auteurs : Schanen-Bergot MO, Auteur Année de publication : 20/09/2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : corticoïde ; dystrophie musculaire ; échelle NSAA ; essai clinique de phase 2 ; maladie neuromusculaire ; ostéocalcine ; prednisone Lien associé : Lien vers la Brève du site AFM-Téléthon
Voir l’essai NCT02760277 sur le site clinicaltrials.gov (En Anglais)Texte intégral : Brève publiée sur le site Internet de l'AFM
Le vamorolone évalué chez 48 garçons atteints de DMD semble améliorer la fonction motrice après 24 semaines de traitement avec moins d’effets secondaires à court terme.
Les corticostéroïdes comme la prednisone sont prescrits dès l’âge de 4-5 ans dans la dystrophie musculaire de Duchenne (DMD) dans le but de retarder la perte de la marche. Mais leurs effets sur le poids, la santé osseuse ou encore l’humeur restent complexes à gérer.
Le vamorolone, un anti-inflammatoire stéroïdien de nouvelle génération, pourrait bien apporter une solution à ces difficultés. Conçu par la société ReveraGen Biopharma, ce stéroïde synthétique agirait dans la DMD comme les corticostéroïdes classiques sans en avoir les effets secondaires, au moins à court terme. C’est ce que tendent à montrer les résultats d’un essai clinique de phase II, qui viennent d’être publiés dans la revue Neurology.
Une efficacité sur la fonction motrice
Dans cet essai international, 4 groupes de 12 garçons atteints de DMD âgés de 4 à 6 ans, jamais traités avec des corticostéroïdes, ont reçu du vamorolone chaque jour durant 6 mois à une dose différente pour chaque groupe (0,25 - 0,75 - 2,0 – 6,0 mg/kg). Les performances motrices des participants ont été évaluées régulièrement en mesurant le temps pour se mettre debout, pour courir ou marcher 10 mètres ou pour monter 4 marches, la distance de marche parcourue en 6 minutes…
Après 24 semaines de traitement, les performances des garçons traités ont augmenté significativement, principalement pour les deux groupes traités avec les deux plus fortes doses. Les garçons qui ont reçu chaque jour 6 mg/kg de vamorolone se relèvent plus rapidement du sol (en moins d’un dixième de seconde), marchent plus longtemps durant 6 minutes (13% de plus soit 40 m environ) qu’avant traitement et ont augmenté leurs performances motrices globale de 2 à 2,5 points pour les tests moteurs.
Peu d’effets secondaires propres aux corticoïdes à court terme
Le vamorolone est bien toléré. Des indicateurs sanguins de la santé osseuse, comme l’ostéocalcine, reflètent qu’après 24 semaines (près de 6 mois) de traitement, celle des enfants est bonne, quelles que soient les doses de vamorolone administrées. D’autres dosages sanguins montrent que le vamorolone ne perturbe pas le métabolisme de l’insuline, ni la production de corticostéroïdes naturels par les glandes surrénales.
D’autres essais cliniques sont en cours dans plusieurs pays (États-Unis, Canada…) pour évaluer sur à plus long terme (2 ans) l’efficacité et les effets secondaire du vamorolone dans la DMD.
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Brève publiée sur le site Internet de l'Institut de Myologie
Le vamorolone s’avère être un corticoïde avec des effets secondaires moins marqués à court terme dans la myopathie de Duchenne.
Le vamorolone est un anti-inflammatoire stéroïdien de nouvelle génération conçu par la société ReveraGen Biopharma; il agirait dans la myopathie de Duchenne (DMD) sur la fonction motrice comme les corticostéroïdes classiques sans en avoir les effets secondaires (ostéoporose, prise de poids,… impact sur le métabolisme de l’insuline ou le fonctionnement des glandes surrénales…).
Dans un essai international de phase II, 4 groupes de 12 garçons atteints de DMD âgés de 4 à 6 ans, naïfs de glucocorticoïdes, ont reçu quotidiennement 0,25, 0,75, 2,0 ou 6,0 mg/kg de vamorolone pendant 6 mois.
La fonction motrice des participants a été évaluée après 4, 8, 16 et 24 semaines de traitement par des tests classiques : temps pour se mettre debout, pour courir ou marcher 10 mètres ou pour monter 4 marches, test de 6 minutes de marche, échelle NSAA (North Star Ambulatory Assessment)...
Après 24 semaines de traitement, les performances motrices des garçons traités ont été améliorées significativement, principalement pour les deux groupes traités avec les deux plus fortes doses :
- les garçons se relèvent plus rapidement du sol (en moins d’un dixième de seconde) ;
- ils marchent plus longtemps durant 6 minutes (13% de plus soit 40 m environ) ;
- ils ont augmenté leurs performances globales de 2 à 2,5 points pour la NSAA...
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Titre : SMA : suivi sur 2 ans avec ou sans Zolgensma Type de document : Brève Auteurs : Cukierman L, Auteur Année de publication : 13/09/2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : amyotrophie spinale proximale ; amyotrophie spinale proximale liée à SMN1 ; autorisation de mise sur le marché ; échelle CHOP INTEND ; gène ; gène SMN1 ; histoire naturelle de la maladie ; maladie neuromusculaire ; thérapie génique ; vecteur adénoassocié ; vecteur viral Lien associé : Lien vers la Brève du site AFM-Téléthon
Lien vers la Brève du site Institut de MyologieTexte intégral : Brève publiée sur le site Internet de l'AFM
Une nouvelle étude confirme l’efficacité sur 2 ans du produit de thérapie génique Zolgensma dans le traitement de la SMA.
Un pourcentage de survie de 100% avec le Zolgensma®
Une nouvelle publication de l’équipe de J. Mendell, expert américain de la thérapie génique, sur l’efficacité du produit de thérapie génique Zolgensma® (onasemnogene abeparvovec) dans l’amyotrophie spinale proximale liée à SMN1 (SMA) de type 1 vient de paraitre début septembre 2019. Dans cette étude, les auteurs ont comparé les résultats obtenus sur 2 ans lors du premier essai de thérapie génique réalisé chez 12 participants avec le Zolgensma® aux données d’une cohorte de personnes non traitées provenant d’une étude d’histoire naturelle de la SMA de type 1 (étude Neuronext).
Au terme d’un suivi de 2 ans, le pourcentage de survie est de 100% pour les participants traités par Zolgensma®, alors qu’il est de 38% pour la cohorte non traitée. Les personnes sous Zolgensma® présentent également une amélioration de la fonction motrice et du développement moteur (avec notamment la capacité de s’asseoir, voire même pour certains de marcher).
Le Zolgensma, premier traitement de thérapie génique autorisé aux États-Unis
Le Zolgensma® est un produit de thérapie génique composé d’un vecteur viral AAV transportant le gène SMN1 afin de produire la protéine SMN manquante dans la SMA. Il a reçu le 24 mai 2019 une autorisation de mise sur le marché dans le traitement de la SMA aux États-Unis.
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Brève publiée sur le site Internet de l'Institut de Myologie
Comparaison de données avec ou sans traitement par Zolgensma dans l’amyotrophie spinale proximale liée à SMN1.
Le Zolgensma®, un produit de thérapie génique composé d’un AAV transportant le gène SMN1, a reçu le 24 mai dernier une autorisation de mise sur le marché dans le traitement de l’amyotrophie spinale proximale (SMA) aux États-Unis.
Une nouvelle étude comparant les résultats obtenus sur 2 ans lors du premier essai de thérapie génique réalisé chez 12 participants avec le Zolgensma® aux données d’une cohorte provenant de l’étude d’histoire naturelle Neuronext a montré au terme d’un suivi de 2 ans une amélioration :
- du taux de survie : 100% sous Zolgensma® versus 38% sans traitement
- de la fonction motrice sur le CHOP INTEND
- du développement moteur (capacité de s’asseoir, voire de marcher). Voir aussiAvis des lecteurs Aucun avis, ajoutez le vôtre !
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Longitudinal reliability of outcome measures in patients with Duchenne muscular dystrophy
Nagy S, Schädelin S, Hafner P, et al.
Muscle & Nerve, 2019
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Long-term progression in type II spinal muscular atrophy: A retrospective observational study
Mercuri E, Lucibello S, Pera MC, et al.
Neurology, 2019, 93, 13
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Des recommandations pour établir l’histoire naturelle des maladies mitochondriales
Urtizberea JA
2018
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FSH-COM : un nouveau score fonctionnel destiné aux essais thérapeutiques dans la dystrophie musculaire facioscapulohumérale
Urtizberea JA
2018
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Histoire naturelle des patients atteints de SMA : une étude néerlandaise confirme l’évolutivité de la maladie
Urtizberea JA
2018
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Functional outcome measures for infantile Charcot-Marie-Tooth disease: a systematic review
Mandarakas MR, Rose KJ, Sanmaneechai O, et al.
Journal of the peripheral nervous system : JPNS, 2018
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Facioscapulohumeral muscular dystrophy functional composite outcome measure
Eichinger K, Heatwole C, Iyadurai S, et al.
Muscle & Nerve, 2018
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Corticosteroids in Duchenne muscular dystrophy: impact on the motor function measure sensitivity to change and implications for clinical trials
Schreiber A, Brochard S, Rippert P, et al.
Developmental medicine and child neurology, 2018, 60, 2, p 185
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Outcome measures in Duchenne muscular dystrophy: sensitivity to change, clinical meaningfulness, and implications for clinical trials
Domingos J, Muntoni F
Developmental medicine and child neurology, 2018, 60, 2, p 117
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Towards a short questionnaire for stepwise assessment of upper limb function, pain and stiffness in Duchenne muscular dystrophy
Janssen MMHP, Geurts ACH, De Groot IJM
Disability and rehabilitation, 2018, 40, 7, p 842
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Effects of Arm Cycling Exercise in Spinal Muscular Atrophy Type II Patients: A Pilot Study
Bora G, Subasi-Yildiz S, Yesbek-Kaymaz A, et al.
Journal of child neurology, 2018, 33, 3, p 209
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Evaluation of Children with SMA Type 1 Under Treatment with Nusinersen within the Expanded Access Program in Germany
Pechmann A, Langer T, Schorling D, et al.
Journal of Neuromuscular Diseases, 2018, 5, 2, p 135
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Motor neuron disease: A prospective natural history study of type 1 spinal muscular atrophy
Bertini E, Mercuri E
Nature reviews. Neurology, 2018, 14, 4, p 197
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Clinical phenotypes and trajectories of disease progression in type 1 spinal muscular atrophy
De Santis R, Pane M, Coratti G, et al.
Neuromuscular disorders : NMD, 2018, 28, 1, p 24
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Clinical phenotypes and trajectories of disease progression in type 1 spinal muscular atrophy
De Sanctis R, Pane M, Coratti G, et al.
Neuromuscular disorders : NMD, 2018, 28, 1, p 24
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Timed function tests, motor function measure, and quantitative thigh muscle MRI in ambulant children with Duchenne muscular dystrophy: A cross-sectional analysis
Schmidt S, Hafner P, Klein A, et al.
Neuromuscular disorders : NMD, 2018, 28, 1, p 16
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