Résumé :
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Pour la maladie de Thomsen, comme pour beaucoup d'autres maladies du système nerveux qui attendent une explication satisfaisante de leur pathogénie, le moment est évidemment arrivé, où l'étude des cas typiques a donné tout ce qu'on pouvait en exiger : un tableau parfait de l'affection. On devait en venir aux formes atypiques. Le besoin des formes atypiques se fait sentir dans la publication, pendant 5 ans, d'une série de travaux dont le dernier, remarquable par la perfection des recherches et de revue de littéraire, est dû à Hoffmann (1) et paru dans le recueil jubilaire d'ERB.
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