Titre : | A comparison between self-reported and observed activity limitations in adults with neuromuscular disorders |
Revue : | Archives of physical medicine and rehabilitation, 89, 9 |
Auteurs : | Vandervelde L ; Dispa D ; Van Den Bergh PYK ; Thonnard JL |
Type de document : | Article |
Année de publication : | 09/2008 |
Pages : | p. 1720-1723 |
Langues: | Anglais |
Mots-clés : | accès aux soins ; adulte ; âge ; amyotrophie spinale ; dystrophie musculaire de Becker ; dystrophie musculaire de Duchenne ; dystrophie musculaire des ceintures ; dystrophie musculaire facio-scapulo-humérale ; échelle ACTIVLIM ; échelle d'évaluation ; fauteuil roulant ; interview ; marche ; paralysie périodique secondaire ; psychométrie ; sclérose latérale amyotrophique ; sexe ; vie quotidienne |
Résumé : |
Accès au résumé PubMed / to PubMed abstract 17/11/2008 - L’échelle ACTIVLIM : un outil intéressant pour mesurer le retentissement fonctionnel La plupart des maladies neuromusculaires entraînent, à un moment ou un autre de leur évolution, une limitation des performations motrices et, par conséquent, une diminution de certaines activités de la vie quotidienne. L’appréciation de ce retentissement fonctionnel n’est pas aisé car reposant sur des critères souvent subjectifs. Dans ce contexte, l’équipe du centre de référence neuromusculaire de Bruxelles a développé un outil, l’ACTIVLIM, lequel repose sur la passation d’un questionnaire standardisé. Cette méthode a déjà été statistiquement validée dans des études antérieures. Dans un article publié en septembre 2008, la même équipe de chercheurs rapporte les résultats d’une étude comparative des modalités de passation de cette échelle. Dans un premier temps, la personne malade remplissait un auto-questionnaire ACTIVLIM basé sur sa propre perception de la gêne fonctionnelle. Deux semaines plus tard, un professionnel venait à domicile remplir le même questionnaire, mais de manière objective, puis de nouveau 45 jours plus tard. Cinquante-sept personnes souffrant de maladies neuromusculaires diverses et suivies par le centre ont ainsi été évaluées par quatre kinésithérapeutes. Quarante-huit d’entre eux étaient encore capables de marcher. Les études de corrélation n’ont pas montré de différence significative entre les deux modes de passation, soulignant ainsi que l’auto-questionnaire était une approche valide, reproductible, et simple d’utilisation. |
Pubmed / DOI : | DOI : 10.1016/j.apmr.2008.01.024 / Pubmed : 18760156 |