Résumé :
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Le système immunitaire et le système nerveux partagent de nombreux points communs : il n'est peut-être pas si étonnant que cela puisse paraître que le NGF, connu depuis trente ans comme facteur de survie des neurones post-mitotiques, soit aussi un médiateur capital de la mémoire immunitaire. Un rôle qui vient d'être mis en évidence après que l'on ait décelé le NGF en quantité très élevées dans certaines maladies autoimmunes. Ces dernières pourraient, de fait, connaître de nouvelles perspectives thérapeutiques, liées aux possibilités de manipulation du circuit autocrine de secrétion du NGF.
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