Titre : | A comparative study of alpha-dystroglycan glycosylation in dystroglycanopathies suggests that the hypoglycosylation of alpha-dystroglycan does not consistently correlate with clinical severity |
Revue : | Brain pathology, 19, 4 |
Auteurs : | Jimenez-Mallebrera C ; Torelli S ; Feng L ; Kim J ; Godfrey C ; Clement E ; Mein R ; Abbs S ; Brown SC ; Campbell KP ; Kroger S ; Talim B ; Topaloglu H ; Quinlivan R ; Roper H ; Childs AM ; Kinali M ; Sewry CA ; Muntoni F |
Type de document : | Article |
Année de publication : | 2009 |
Pages : | p. 596-611 |
Langues: | Anglais |
Mots-clés : | alpha-dystroglycane ; biopsie musculaire ; corrélation génotype-phénotype ; dystrophie musculaire congénitale ; dystrophie musculaire des ceintures ; faiblesse musculaire ; fukutine ; gène FKRP ; gène LARGE ; gène POMGNT1 ; gène POMT1 ; gène POMT2 ; glycosylation ; immunohistochimie ; malformation cérébrale ; mort ; muscle squelettique ; mutation génétique ; physiopathologie |
Résumé : |
Accès au résumé PubMed / to PubMed abstract 25/09/2008 - Les alpha-dystroglycanopathies passées au crible des corrélations génotype-phénotype : à propos d’une série anglaise de 24 patients Les alpha-dystrogylcanopathies constituent un groupe de maladies neuromusculaires de description récente. Elles sont caractérisées par une diminution du signal de l’alpha-dystroglycane (alpha-DG), une protéine-clé de la membrane musculaire, et sont transmises selon un mode autosomique récessif. Initialement décrites dans les dystrophies musculaires congénitales (syndrome de Walker-Warburg, syndrome muscle-œil-cerveau, maladie de Fukuyama, …), elles ont vu leur spectre clinique s’élargir au fil des ans, avec notamment des formes extrêmement bénignes s’apparentant à des myopathies des ceintures peu invalidantes. On connaît pour l'instant six gènes pour lesquels une anomalie entraîne une alpha-dystroglycanopathie et la plupart interviennent dans des phénomènes de glycosylation. Dans une étude rétrospective concernant 24 patients et publiée en août 2008, l’équipe de myologie de Londres a essayé d’établir des corrélations entre phénotype et génotype dans ces affections, en se basant notamment sur la baisse du signal alpha-DG et la sévérité de l’atteinte clinique. Si cette corrélation s’avère satisfaisante dans les gènes codant des enzymes intervenant directement dans la glycosylation (POMT1, POMT2 et POMGnT1), elle l’est beaucoup moins dans les trois autres gènes (FKRP, fukutine et LARGE), gènes dont la fonction biologique est d’ailleurs moins bien connue. Les auteurs font notamment état d’un cas avec mutation prouvée du gène FKRP, tableau clinique peu sévère et diminution très franche du signal alpha-DG. |
Lien associé : | http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18691338?ordinalpos=2&itool=EntrezSystem2.PEntrez.Pubmed.Pubmed_ResultsPanel.Pubmed_RVDocSum |