Title: | Distinctive genetic and clinical features of CMT4J: a severe neuropathy caused by mutations in the PI(3,5)P2 phosphatase FIG4 |
Journal : | Brain, 134, Pt 7 |
Authors: | Nicholson G ; Lenk GM ; Reddel SW ; Grant AE ; Towne CF ; Ferguson CJ ; Simpson E ; Scheuerle A ; Yasick M ; Hoffman S ; Blouin R ; Brandt CA ; Coppola G ; Biesecker LG ; Batish SD ; Meisler MH |
Material Type: | Article |
Publication Date: | 2011 |
Size: | p. 1959-1971 |
Languages: | English |
Keywords : | adulthood ; alleles ; Charcot-Marie-Tooth disease ; children ; chromosome 6 ; chronic inflammatory demyelinating polyradiculoneuropathy ; CMT4E ; CMT4J ; comparative studies ; exon ; FIG4 gene ; genetic deletions ; genetic mutations ; haplotypes ; molecular genetics ; muscle weakness |
Abstract: |
Accès au résumé PubMed / to PubMed abstract 07/12/2011 - Maladie de Charcot-Marie-Tooth et FIG4 : un des gènes majeurs dans les formes récessives La maladie de Charcot-Marie-Tooth (CMT) est une neuropathie sensitivo-motrice génétiquement déterminée et caractérisée par une grande diversité clinique et génétique. Elle entraine un déficit moteur principalement au niveau des pieds et dans une moindre mesure au niveau des mains, ainsi que des troubles sensitifs de manière plus inconstante. Parmi les 30 gènes en cause connus à ce jour dans les CMT, le gène FIG4 ou phosphatase PI(3,5)P2 code une phosphatase lipidique. Elle est impliquée dans une des nombreuses formes autosomiques récessives, la CMT4J selon la nomenclature internationale. Dans un article publié en juillet 2011 dans Brain, des auteurs australiens et nord-américains ont étudié dans le détail une cinquantaine de patients présentant des mutations dans ce gène, une bonne partie provenant d’un criblage de FIG4 dans une population atteinte de CMT récessive. D’après leurs calculs, le gène FIG4 serait un gène majeur et impliqué dans 20% des cas de CMT récessive. Une mutation décrite dans la cohorte historique ayant conduit à l’identification du gène a été retrouvée dans une série complémentaire de onze patients. Au vu de l’ensemble de la cohorte, le phénotype CMT est variable. Il peut parfois être sévère avec début précoce dans l’enfance et confinement au fauteuil roulant après une durée d’évolution assez courte. Une certaine asymétrie et une extension à des muscles proximaux est également rapportée. |
Lien associé : | http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi?cmd=Retrieve&db=PubMed&dopt=Citation&list_uids=21705420 |
Pubmed / DOI : | DOI : 10.1093/brain/awr148 |