Résumé :
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"... Pour étudier le développement d’un organe, il est nécessaire d’utiliser les bons outils. C’est pourquoi mettre en place de nouveaux protocoles ou de nouvelles techniques est essentiel pour acquérir des données génomiques à l’échelle d’un tissu ou d’un sous-type cellulaire en particulier. Ceci fut le premier challenge rencontré au cours de ma thèse, et le fait de travailler sur la drosophile m’a servis à mettre au point un protocole permettant par la suite d’acquérir des données globales, de façon fine, lors de la différenciation du tube cardiaque. Ce protocole peut être facilement adapté à d’autres processus prenant place au cours de l’embryogenèse, et ce même à des stades tardifs sur une petite population cellulaire, ouvrant ainsi de nouvelles perspectives d’études pour améliorer notre compréhension des réseaux de régulations spécifiques."
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