Titre : | Sustained AAV-mediated dystrophin expression in a canine model of Duchenne muscular dystrophy with a brief course of immunosuppression |
Revue : | Molecular therapy, 15, 6 |
Auteurs : | Wang Z ; Kuhr CS ; Allen JM ; Blankinship MJ ; Gregorevic P ; Chamberlain JS ; Tapscott SJ ; Storb R |
Type de document : | Article |
Année de publication : | 2007 |
Pages : | p. 1160-1166 |
Langues: | Anglais |
Mots-clés : | biopsie musculaire ; chien cxmd ; ciclosporine ; complexe dystrophine ; dystrophie musculaire de Duchenne ; histochimie ; immunofluorescence ; immunosuppression ; membrane cellulaire ; mini-dystrophine ; muscle squelettique ; mycophénolate mofétil ; thérapie génique ; vecteur adénoassocié |
Résumé : |
Accès au résumé PubMed / to PubMed abstract 14/05/2007 - Un traitement immunosuppresseur discontinu améliore l’efficacité de la thérapie génique chez des chiens modèles de la DMD La dystrophie musculaire de Duchenne (DMD) est une maladie due à un déficit en dystrophine, entraînant une dégénérescence des muscles squelettiques et cardiaque. La thérapie génique consistant à remplacer le gène muté de la dystrophine par un gène codant une micro-dystrophine via un AAV (adeno-associated virus), est une des stratégies thérapeutiques les plus étudiées dans la DMD. Ce type d’approche se heurte au problème inhérent de la réaction immunitaire provoquée par l’administration d’un AAV dans l’organisme avec le risque d’une moindre efficacité du traitement. Dans une étude publiée en avril 2007, une équipe américaine a testé l’effet d’un traitement immunosuppresseur discontinu (combinaison d’anticorps anti-thymocytes, de cyclosporine et de mycophénolate de mofétil) chez des chiens cxmd (modèles de la DMD) traités par thérapie génique (injection intramusculaire d’une construction comprenant un AAV de type 2 ou 6 et de l’ADN codant une micro-dystrophine). Les résultats ont montré que le traitement immunosuppresseur a été suffisant pour permettre une expression forte et persistante (16 semaines) de la micro-dystrophine dans le muscle squelettique injecté. D’après les auteurs, ce protocole d’immunosuppression pourrait avoir des applications dans les essais thérapeutiques utilisant les AAV chez l’homme. |
Lien associé : | http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi?db=pubmed&cmd=Retrieve&dopt=AbstractPlus&list_uids=17426713&query_hl=8&itool=pubmed_docsum |