Résumé :
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Lorsque les parents ou les professionnels sont alertés par la souffrance d'un enfant de la fratrie, des rencontres peuvent être proposées entre l'enfant, seul ou accompagné de ses parents, et un professionnel psychologue ou psychiatre travaillant dans l'établissement qui suit l'enfant handicapé. Une autre réponse peut être proposée soutenue par les familles et les équipes de professionnels, celle des "Groupes fratries". Les institutions, en particulier les SESSAD et les CAMSP, mais également les associations de parents, sont de plus en plus nombreuses à souhaiter la création de "groupes de paroles pour frères et soeurs". La mise en place d'un tel projet ne peut s'appuyer sur la littérature car elle est fort pauvre sur ce sujet précis, et ne propose aucune évaluation systématisée pouvant servir de guide ou de conduite à ce projet. L'intérêt de cette étude est de répondre à cette nécessité de mieux connaître cette pratique, ses limites. (Résumé issu de la Base SAPHIR du CTNERHI)
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