Titre : | Endurance training improves fitness and strength in patients with Becker muscular dystrophy |
Revue : | Brain, 131, 11 |
Auteurs : | Sveen ML ; Jeppesen TD ; Hauerslev S ; Kober L ; Krag TO ; Vissing J |
Type de document : | Article |
Année de publication : | 11/2008 |
Pages : | p. 2824-2831 |
Langues: | Anglais |
Mots-clés : | biopsie musculaire ; créatine kinase ; dystrophie musculaire de Becker ; échocardiographie ; entraînement musculaire ; épreuve d'effort aérobie ; fonction cardiaque ; force musculaire ; histochimie ; muscle squelettique ; oxygénation ; souris mdx |
Résumé : |
Accès au résumé PubMed / to PubMed abstract 17/11/2008 - L’entraînement physique au service des patients atteints de dystrophie musculaire de Becker : à propos d’une étude scandinave La dystrophie musculaire de Becker est une maladie neuromusculaire apparentée à la maladie de Duchenne mais avec un retentissement fonctionnel moins marqué. Elle est due à un déficit partiel en dystrophine du fait d’anomalies, dites en phase, du gène DMD. L’évolution est généralement lL’entraînement physique au service des patients atteints de dystrophie musculaire de Becker : à propos d’une étude scandinaveente mais très variable d’un individu à un autre, avec une perte progressive des performances motrices. Le pronostic est en fait lié à l’apparition d’une cardiomyopathie. Dans une étude publiée en septembre 2008, l’équipe de myologie de Copenhague conduite par J. Vissing a comparé les effets de l’entraînement physique chez 11 patients souffrant de myopathie de Becker par rapport à 7 sujets sains. Le travail sur bicyclette portait essentiellement sur l’endurance (sur une période de 3 mois) et se passait à domicile après une phase d’apprentissage en milieu hospitalier. Plusieurs paramètres physiologiques ont été mesurés à la fois pour évaluer la force, l’endurance mais aussi pour analyser les effets possiblement délétères sur le muscle squelettique et cardiaque (mesure des CPK, biopsie musculaire, échocardiographie). Il apparaît clairement une amélioration de la force musculaire, de l’endurance et du bien-être sans dommages collatéraux mesurables sur le muscle. L’effet semble également être bénéfique sur le moyen terme, six patients ayant continué, avec le même succès, le programme d’entraînement pendant un an. |
Lien associé : | http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18776212?ordinalpos=2&itool=EntrezSystem2.PEntrez.Pubmed.Pubmed_ResultsPanel.Pubmed_DefaultReportPanel.Pubmed_RVDocSum |
Pubmed / DOI : | DOI : 10.1093/brain/awn189 |
Voir aussi : |