Titre : | An ENU-induced mutation in mouse glycyl-tRNA synthetase (GARS) causes peripheral sensory and motor phenotypes creating a model of Charcot-Marie-Tooth type 2D peripheral neuropathy |
Revue : | Disease models and mechanisms, 2, 7-8 |
Auteurs : | Achilli F ; Bros-Facer V ; Williams HP ; Banks GT ; AlQatari M ; Chia R ; Tucci V ; Groves M ; Nickols CD ; Seburn KL ; Kendall R ; Cader MZ ; Talbot K ; van Minnen J ; Burgess RW ; Brandner S ; Martin JE ; Koltzenburg M ; Greensmith L ; Nolan PM ; Fisher EMC |
Type de document : | Article |
Année de publication : | 08/2009 |
Pages : | p 359 |
Langues: | Anglais |
Mots-clés : | activité enzymatique ; carte génétique ; CMT2D ; conduction nerveuse ; corrélation génotype-phénotype ; fatigue musculaire ; force musculaire ; gène GARS1 ; génétique moléculaire ; hétérozygote ; histopathologie ; homozygote ; innervation ; motricité ; muscle squelettique ; mutation génétique ; myélinisation ; physiologie ; préhension ; protéine SMN ; séquençage ; souris modèle ; système nerveux central |
Résumé : |
Accès au résumé PubMed / to PubMed abstract 29/07/2009 - Un nouveau modèle souris de CMT 2D / dSMA de type V : vers un phénotype plus fidèle à la clinique humaine La protéine GARS (ou glycyl-tRNA synthétase) est impliquée dans deux types de maladies neuromusculaires : la forme dite 2D de maladie de Charcot-Marie-Tooth, une neuropathie sensitive-motrice axonale transmise selon un mode autosomique dominant, et l'amyotrophie spinale distale de type V (ou dSMA type V). Ces deux affections, toutes deux très rares, présentent de nombreuses similitudes au niveau clinique, la seconde ne comportant pas d'atteinte sensitive. Elles entrainent notamment une amyotrophie et/ou un déficit au niveau des extrémités avec une nette prédominance pour les membres supérieurs. Pour mieux comprendre leur physiopathologie, plusieurs modèles de souris transgéniques ont été mis au point. Dans un article publié en mai 2009, des chercheurs londoniens présentent les données correspondant à une nouvelle lignée murine portant la mutation C201R du gène GARS. A l'état hétérozygote, les souris mutées reproduisent les principaux signes cliniques et histologiques des deux maladies humaines, le phénotype clinique variant d'ailleurs en fonction de la lignée génétique dont elles sont issues (C57BL/6 ou C3H). A l'état homozygote, les souris sont viables (pendant 17 jours post-nataux en moyenne) ce qui pourrait renseigner ultérieurement sur les fonctions de la protéine GARS. Celle-ci est en effet exprimée de manière ubiquitaire mais possède un effet délétère, en son absence, sur une sous-population de neurones. |
Lien associé : | http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19470612?ordinalpos=3&itool=EntrezSystem2.PEntrez.Pubmed.Pubmed_ResultsPanel.Pubmed_DefaultReportPanel.Pubmed_RVDocSum |
Pubmed / DOI : | DOI : 10.1242/dmm.002527 |