Résumé :
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Les connaissances théoriques actuelles situent les activités de pensée à la jonction de processus qui intéressent le corps, les affects, l'idéation et les interactions. Afin de compléter leur compréhension dans une dimension cognitivo-affective, nous avons trouvé intéressant d'étudier un groupe de sujets handicapés physiques qui présentent des perturbations de la neuromotricité avec leurs conséquences interelationnelles. Habituellement, c'est la survenue de troubles d'apprentissages qui laisse supposer l'existence de troubles des activités de pensée. D'où l'étude de sujets handicapés signalés pour ce type de difficultés ... Toutefois, se limiter à ce groupe serait reconnaître que l'impact psychologique du handicap est à dominante logico-intellectuelle. C'est pourquoi il nous a paru utile de compléter cette investigation auprès de sujets, qui, tout en étant handicapés physiques, ne présentaient pas de difficultés d'apprentissages ...
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